Parceque je ne possède pas une version du Bazook originel assez grande pour être tiré au minimum format poster, j'ai décidé de retouché le bazook. La technique reprend celle utilisé pour mes travaux du moment, ceux de la série Situation - souhait - poésie. Cette technique me plait vraiment, j'adore son rendu.
Voici un détail de ce que sera le bazook fini :
dimanche 20 décembre 2009
jeudi 17 décembre 2009
Mon mode d'exposition depuis quelques temps
Avant j'exposais dans des lieux publics, pas très souvent, mais cela m'arrivais. Et puis pour une raison que je tairai j'ai cessé d'exposer. Et j'ai découvert internet et ses possibilités. Je me suis inscris sur pas mal de sites différents, chacun avait sa spécificité, ce qui me conduisais à mettre certains types d'informations en fonction du site. Après avoir passé pas mal de temps à surfer et à zapper, j'en suis arrivé à privilégier un nombre restreint de sites. Le plus ancien est Myspace, j'ai réalisé une cinquantaine de Myspace jusqu'à présent, nombreux sont ceux dont je ne m'occupe quasiment pas. Et puis j'ai connu Artmajeur, et j'ai tout de suite été satisfait, ce site offre une très bonne visibilité, il est ouvert 7j/7 et 24H/24, quelle galerie offre cela ? Et tout récement je me suis aussi créé un blog, je trouve ça sympa.
Ce que j'aime bien avec internet et ses outils, c'est la possibilité qui vous est offert de pouvoir communiquer des idées ou des informations à de très nombreuses personnes, et ceci gratuitement. Je suis très content de mes statistiques pour mon myspace et mon Artmajeur. C'est devenu un jeu, je les consulte plusieurs fois dans la journée et je regarde la progression, ça ressemble à de la pêche. Il faut appâter et ferrer. Et de temps en temps on a une touche. Artmajeur serai de la pêche au filet, tout à l'heure j'ai pris 40 visites en tout juste 10 minutes, j'ai rien compris. Et mon blog c'est de la pêche à la ligne mais avec un appât fait en fil rouge, qui marche pas très bien, car son potentiel de visibilité est moindre, le réseau n'est pas le même que celui d'Artmajeur ou Myspace. Myspace c'est de la pêche à la ligne avec un bon appât et c'est de la pêche à l'arc aussi, car les outils mis à disposition veulent cela.
Tout cela pour dire qu'avec internet je peux montrer une quantité de choses gratuitement avec une bonne visibilité, j'entends par là un grand nombres de personnes, sans bouger de chez moi et instantanément.
Je compte en 2010 me remettre un peu à exposer, je vais essayer de trouver quelques lieux sur Bordeaux. Les raisons qui m'ont empêchées d'exposer pendant un certain temps ne sont plus, et j'aime bien faire cela, donc advienne que pourra !
Ce que j'aime bien avec internet et ses outils, c'est la possibilité qui vous est offert de pouvoir communiquer des idées ou des informations à de très nombreuses personnes, et ceci gratuitement. Je suis très content de mes statistiques pour mon myspace et mon Artmajeur. C'est devenu un jeu, je les consulte plusieurs fois dans la journée et je regarde la progression, ça ressemble à de la pêche. Il faut appâter et ferrer. Et de temps en temps on a une touche. Artmajeur serai de la pêche au filet, tout à l'heure j'ai pris 40 visites en tout juste 10 minutes, j'ai rien compris. Et mon blog c'est de la pêche à la ligne mais avec un appât fait en fil rouge, qui marche pas très bien, car son potentiel de visibilité est moindre, le réseau n'est pas le même que celui d'Artmajeur ou Myspace. Myspace c'est de la pêche à la ligne avec un bon appât et c'est de la pêche à l'arc aussi, car les outils mis à disposition veulent cela.
Tout cela pour dire qu'avec internet je peux montrer une quantité de choses gratuitement avec une bonne visibilité, j'entends par là un grand nombres de personnes, sans bouger de chez moi et instantanément.
Je compte en 2010 me remettre un peu à exposer, je vais essayer de trouver quelques lieux sur Bordeaux. Les raisons qui m'ont empêchées d'exposer pendant un certain temps ne sont plus, et j'aime bien faire cela, donc advienne que pourra !
mercredi 16 décembre 2009
Situation - souhait - poésie --- MouA 2009
Voici quelques détails de mon dernier travail. Je reprends ici une technique que j'avais utilisé il y a maintenant plusieurs paires d'années. C'est une technique que je trouve agréable à travailler, elle est très proche de la peinture. Lorsque je travail de cette façon, j'ai vraiment l'impression de peindre. Le photo-montage qui me sert de support est comme une peinture hyper-réaliste réalisée à l'huile et encore fraiche, et à cela j'ajoute sur toute la surface des coups de pinceau qui viennent donner du rythme aux détails, qui ajoute une touche à la pâte. La sensation que je ressens avec ma souris est proche de celle de la tenue du pinceau, la matière/pixel a ses propriétés.
Voici donc quatre détails :
Voici donc quatre détails :
Quelques portraits --- MouA 2009
Voici quelques portraits comme je me plais à les faire. J'en ai fait peu dans ce genre. J'en ferai je pense quelques autres.
dimanche 13 décembre 2009
Un certain Art métaphysique --- MouA 2009
Par une nuit de pleine où deux comètes filaient sous l'oeil de trois pilgrims allant à MoA guidés par MouA
Voici ma dernière série. C'est la série qui selon moi a le plus de sens, elle synthétise dix années de tentatives et de réflexions. J'ai découvert l'Art métaphysique par hasard, en achetant un livre du même nom. Je découvrait alors Giorgio de Chirico et sa pensée. Le terme métaphysique me parlait alors beaucoup. Dans son livre Chirico parle de peinture , de philosophie, d'artistes, de philosophie, de métaphysique. Je comprenais tout ce que me disait Giorgio. Un certain Art métaphysique est ma réponse à de Chirico. Il a dit ceci : "Le problème de ce qu'un artiste doit faire devient de plus en plus inquiétant. Rien n'est assez profond, rien n'est assez pur. Tout ce qui a rassasié jusqu'à présent les peintres nous semble jeu d'enfants; c'est pourquoi nous jetons nos regards derrière les murs et cherchons quelque chose de nouveau."
Parcours d'une aura exacte en 4 étapes
Parcours peinture de Kiom en 4 étapes
Un certain Art métaphysique combine une esthétique qui me plait, et peut conduire à des reflexions sur des sujets qui habitent mon être et ma pensée.
Parcours en pacage d'Emilie en 6 étapes
jeudi 10 décembre 2009
Travaux d'hiver en i vert de Verdi --- MouA 2009
Travaux d'hiver en i vert de Verdi est la série sur laquelle je travaille actuellement, je l'ai commencé fin novembre 2009.
Au tout début, je voulais simplement faire des images agréables à l'oeil. Alors je me suis lancé, un protocole s'est créé, je l'ai suivi, je l'ai fait évoluer, et pour l'instant, je suis assez satisfait de moi. En faisant ces images je me suis rendu compte, en dehors de leur esthétique pictural, de ce qu'elles pouvaient dégager. J'y vois des instantanés, des souvenirs cristalisés, des impressions, la synthèse de quelque chose. C'est un quelque chose parmi une chaine, une suite, une foule, une multitude de ces autres choses. C'est le Temps en acte, l'insaisissable instant, à peine présent que déjà passé. Et puis je vois aussi, à certain moments, l'oeuvre du hasard créateur, qui comme par magie fait surgir d'improbables visages, se donnant à voir par fragments, juste assez pour être reconnu.
Cette série me plait, j'attends de voir ce que la multiplicité me réserve.
Au tout début, je voulais simplement faire des images agréables à l'oeil. Alors je me suis lancé, un protocole s'est créé, je l'ai suivi, je l'ai fait évoluer, et pour l'instant, je suis assez satisfait de moi. En faisant ces images je me suis rendu compte, en dehors de leur esthétique pictural, de ce qu'elles pouvaient dégager. J'y vois des instantanés, des souvenirs cristalisés, des impressions, la synthèse de quelque chose. C'est un quelque chose parmi une chaine, une suite, une foule, une multitude de ces autres choses. C'est le Temps en acte, l'insaisissable instant, à peine présent que déjà passé. Et puis je vois aussi, à certain moments, l'oeuvre du hasard créateur, qui comme par magie fait surgir d'improbables visages, se donnant à voir par fragments, juste assez pour être reconnu.
Cette série me plait, j'attends de voir ce que la multiplicité me réserve.
Claire - tentative n°3
Amote - tentative n°3
Amote - tentative n°5
Claire - tentative n°6
Claire - tentative n°5
Kiom - tentative n°1
Série jeu et réalité --- MouA 2008
Le jeu et un je, nous jouons à être ceci, nous prétendons être cela. Au moment de l'enfance le jeu est constitutif du je. Quand nous sommes adulte, nous continuons à jouer, Young défini ceci par le concept de persona, c'est l'idée qu'un individu à de lui même, c'est un rôle qui défini son être au monde, ce rôle se défini largement par la fonction social de l'individu, son métier.
Dans la série Jeu et réalité, l'artiste retombe en enfance, et joue à nouveau au petit soldat pour immiter son père militaire. Mais l'artiste joue ici comme un grand, avec touts les moyens mis à sa disposition. Le réalisme des scène contrebalance avec la naïveté du sentiment originel.
Ces images sont des instantanés de certain des rêves de l'artiste. Pour MouA l'artiste est joueur, son jeu consiste à faire naitre des choses qui racontent des histoires qui ont du sens, qui témoignent des questionnement de l'artiste. L'Oeuvre d'un artiste est une question à laquelle il répond toute sa vie, et ses réponses incarnées par ses séries ou oeuvres se précisent et évoluent sans cesse.
Le BaZoOk originel --- Kiom et MouA 2001
La série "BaZoOk" est une vielle série que j'ai réalisé en partenariat avec Kiom, photographe de son état. Kiom photographiais et moi je posais.
Cette série porte sur le sens. Comme plus tard dans ma série "Des vessies pour des lanternes", la série "BaZoOk" joue sur le boulversement du sens cardinal de la photographie et sa conséquence : la naissance d'une sémantqiue nouvelle. Nous prenons des fois la corde pour un serpent. Le processus psychologique dévoilé dans cette série peut s'appliquer à notre quotidien et à travers lui se dégage notre conception des choses, de ce qui est, du réel.
Pour l'instant je ne peux présenter que le bazook originel, car les quelques autres clichés de cette série sont perdus dans un coin reculé de la campagne bordelaise. Je ne désespère pas de les retrouver un jour afin de vous les montrer.
Je compte me remettre, huit ans après le Bazook originel, à faire à nouveau des bazooks; mais cette fois-ci je serai derrière l'objectif.
mercredi 9 décembre 2009
Informations concernant Des vessies pour des lanternes
Il me semble que je dois vous en dire plus à propose de cette série.
Je vais donc commencer par vous montrer quelques photos accompagnées de leur titre, ce dernier est très important.
Je vais donc commencer par vous montrer quelques photos accompagnées de leur titre, ce dernier est très important.
Enfants et adultes se croisant, autres s'éjectant de escalator
Escalator - cathédrale
Lagoon tower
Affrontement entre ceux sur et ceux sous escalator
Explications :
Une série sur le sens. Ici le sens cardinal de la photo induit sa sémantique. Cette série décrit un univers urbain et nocturne. Le titre est ici primordial, il fabrique l'image en interdépendance avec votre conscience. La question que pose cette série est : peut-on dire qu'une chose Est à partir du moment où elle peut être partagée ? La réalité est-elle une concordance et une "accordance" des points de vue ?
La réalité dans son essence est inssaisissable, sa défénition change au fur et à mesure que le paradygme suivant vient enterrer le précédent. Pouvons-nous, avec notre seul entendement, appréhender la réalité dans sa plus grande simplicité ?, en éléminant touts les parasites déconcertant qui comme le voile de Maya nous empêche de bien voir; pour ne garder du réel que ce dont nous sommes sûr et certain. Pour certain, la réalité est volonté de représentation. Nous batissons un monde à notre image et que nous désirons, dans ce cas là tout est possible. Il existe un aphorisme définissant la mécanique bouddhiste qui dit ceci : "Quand ceci est présent, cela vient à être. Du surgissement de ceci, cela surgit. Quand ceci est absent, cela ne vient pas à être. A la cessation de ceci, cela cesse." Pour les bouddhiste l'existence est vacuité, elle n'existe pas en soi. Vous pouvez en trouver une bonne définition dans les 70 versets sur la vacuité selon Nagarjuna.
La question du réel est primordial, car elle affecte notre morale, entendue comme étant la théorie de l'action. Nous agissons selon des principes relatif à notre conception du réel. C'est pourquoi nous agissons tous si différement, et que nous créons des groupes (philosophiques, religieux, politiques ...) pour agir ensemble, dans la même direction, car alors nous nous mettons d'accord sur ce qui est et ce qui doit être. Vous pouvez voir dans ces images ce que leur titre prétend montrer, mais vous n'y êtes pas obligé, mon point de vue n'est pas forcément le votre.
Vieux textes retrouvés concernant la série Des vessies pour des lanternes
Voici deux vieux documents datant de 2003 que j'ai retrouvé, ils concernent la série Des vessies pour des lanternes. Je vais donc vous mettre dans ce message les deux textes et des fotos de la série.
Des vessies pour des lanternes.
( travaux préparatoires )
Vous sont montrés quelques travaux préparatoires concernant la série Des vessies pour des lanternes, tourisme.
Cette série pourrait se sous intituler : A la recherche d’une forme leur convenant (aux photos), d’où les annotations : presque oui, ouais, non … ; c’est le jeu du « tu brûles/tu refroidis » !
Un format et un support adéquat.
Je le connais, le présume, convaincu par ces divers essais ; ne me reste plus qu’à le réaliser, freiné par mes malheureuses poches trouées.
Se déplacer : plus souvent, plus loin, plus rapidement.
Déplacer : des informations, des biens, des populations.
Au centre de tout ça, l’homme. L’homme, au centre de la ville, de son lieu de vie, se déplaçant, déclassé, déplacé. Quel y est sa place ? Est-ce qu’il s’y délasse ? Simple organisme indépendant travaillant au profit d’un tout ? Que lui offre sa peut-être (futur) ville ? Son peut-être futur lieu de vie ?
Ces photos, un regard tourné vers ces territoires verticaux, où l’horizontal n’est que niveau associé à une diagonale pour monter plus haut. Monter plus haut. Jusqu’au dernier niveau. Qui sera au dernier niveau ?
Symptôme : des individus, une foule, rapport de force ; quels rapports s’exercent entre ces individus/organes, quel est leur devenir commun, comment pensent-ils leur devenir commun, comment travaillent-ils à la réalisation de ce devenir commun – mais y’a-t-il seulement un devenir commun possible ? (Espoir, es-tu là ?)
Y’a-t-il de l’indifférence dans ces êtres ? Emotions impalpables ?/ ! Pourtant elles existent. Elles se manifestent, ce sont des attitudes, des formes qui renseignent, qui laissent à deviner…
Monter/descendre, des escalators, des ascenseurs, des tapis roulant, facilitant les déplacements, réduisant distance et temps. Escalators, passerelles, couloirs à ciel ouvert, chemins reliant les gros organes entre eux : nervures, réseau sanguin d’un organisme qui cherche à s’accroître, les gens sont les globules, les BPS, transportant le cash migrateur nécessaire à l’accroissement, au bon accroissement, au développement du tout – est-ce une bonne voie de développement ?, est-ce en bonne voie de développement ?
Certain même s’éjectent, s’envolent ou se laissent choir, c’est plus risqué, mais plus rapide. Atterrissage en vue ! – pour atterrir dans quel état ?
De la lumière, pour apaiser, de belles lumières, pour mieux apaiser ; artificielle, le soleil n’a pas de laissez-passer. Qu’y a t il en bas, que peut-on espérer voir d’en haut, est-ce plus beau, voit-on le soleil ? Est-ce encore le même soleil ?
Pourquoi des vessies pour des lanternes ?
Parce que ces tours, ces towers d’un-peu-aujourd’hui-peut-être-beaucoup-de-demain sont des vues de petites villes et campagnes basculées (de 90° par rapport à la prise de vue). Certaines photos ont été prisent dans St. André de Cubzac. Il serait intéressant d’associer à chaque photo le nom de l’endroit où elle a été prise, pour s’y rendre, et se rendre compte. Il serait bien, ensuite, de passer devant ce lieu en voiture, et de voir ce que sa donne en conduisant ; car ces photos ont été prisent en conduisant en voiture. Pour parfaire la chose, s’y rendre la nuit, ou lorsque qu’elle commence à tomber et que le noir va bientôt primer sur le magnifique bleuté. Et est-ce que la tête penchée, nous y verrions ces photos ? Non.
La réalité.
Celui qui oserait dire ne pas savoir ce que c’est serait pris pour un fou.
La réalité, c’est ce qui coordonne les êtres, leur permet de s’entendre, de se comprendre.
La réalité, c’est ce que chacun perçoit et que tout le monde voit.
Dire que l’on voit la même chose c’est s’accorder sur le fait que nous partageons bien le même monde, la même réalité.
_ « Tu as vu ce que j’ai vu !
_ Oui, je l’ai vu.
_ Tu m’aurais dis le contraire je me serais fait du souci pour toi ! »
Ces deux êtres se comprennent, ils voient la même chose, ils vivent dans le même monde.
Tout du moins le pensent-ils.
Un même voir pour plusieurs êtres.
Si ce que nous voyons des choses du monde trouve un accord commun parmi la foule de regards qui le regarde, ce que nous en comprenons diffère souvent, parce que chacun y met un peu du sien.
Qu’est ce qui permet ce décalage dans l’interprétation de ce monde que tout le monde voit de la même façon, mais que chacun semble personnaliser ?
Cinq philosophes descendant passerelle
Premier texte :
Des vessies pour des lanternes.
( travaux préparatoires )
Vous sont montrés quelques travaux préparatoires concernant la série Des vessies pour des lanternes, tourisme.
Cette série pourrait se sous intituler : A la recherche d’une forme leur convenant (aux photos), d’où les annotations : presque oui, ouais, non … ; c’est le jeu du « tu brûles/tu refroidis » !
Un format et un support adéquat.
Je le connais, le présume, convaincu par ces divers essais ; ne me reste plus qu’à le réaliser, freiné par mes malheureuses poches trouées.
Se déplacer : plus souvent, plus loin, plus rapidement.
Déplacer : des informations, des biens, des populations.
Au centre de tout ça, l’homme. L’homme, au centre de la ville, de son lieu de vie, se déplaçant, déclassé, déplacé. Quel y est sa place ? Est-ce qu’il s’y délasse ? Simple organisme indépendant travaillant au profit d’un tout ? Que lui offre sa peut-être (futur) ville ? Son peut-être futur lieu de vie ?
Ces photos, un regard tourné vers ces territoires verticaux, où l’horizontal n’est que niveau associé à une diagonale pour monter plus haut. Monter plus haut. Jusqu’au dernier niveau. Qui sera au dernier niveau ?
Symptôme : des individus, une foule, rapport de force ; quels rapports s’exercent entre ces individus/organes, quel est leur devenir commun, comment pensent-ils leur devenir commun, comment travaillent-ils à la réalisation de ce devenir commun – mais y’a-t-il seulement un devenir commun possible ? (Espoir, es-tu là ?)
Y’a-t-il de l’indifférence dans ces êtres ? Emotions impalpables ?/ ! Pourtant elles existent. Elles se manifestent, ce sont des attitudes, des formes qui renseignent, qui laissent à deviner…
Monter/descendre, des escalators, des ascenseurs, des tapis roulant, facilitant les déplacements, réduisant distance et temps. Escalators, passerelles, couloirs à ciel ouvert, chemins reliant les gros organes entre eux : nervures, réseau sanguin d’un organisme qui cherche à s’accroître, les gens sont les globules, les BPS, transportant le cash migrateur nécessaire à l’accroissement, au bon accroissement, au développement du tout – est-ce une bonne voie de développement ?, est-ce en bonne voie de développement ?
Certain même s’éjectent, s’envolent ou se laissent choir, c’est plus risqué, mais plus rapide. Atterrissage en vue ! – pour atterrir dans quel état ?
De la lumière, pour apaiser, de belles lumières, pour mieux apaiser ; artificielle, le soleil n’a pas de laissez-passer. Qu’y a t il en bas, que peut-on espérer voir d’en haut, est-ce plus beau, voit-on le soleil ? Est-ce encore le même soleil ?
Pourquoi des vessies pour des lanternes ?
Parce que ces tours, ces towers d’un-peu-aujourd’hui-peut-être-beaucoup-de-demain sont des vues de petites villes et campagnes basculées (de 90° par rapport à la prise de vue). Certaines photos ont été prisent dans St. André de Cubzac. Il serait intéressant d’associer à chaque photo le nom de l’endroit où elle a été prise, pour s’y rendre, et se rendre compte. Il serait bien, ensuite, de passer devant ce lieu en voiture, et de voir ce que sa donne en conduisant ; car ces photos ont été prisent en conduisant en voiture. Pour parfaire la chose, s’y rendre la nuit, ou lorsque qu’elle commence à tomber et que le noir va bientôt primer sur le magnifique bleuté. Et est-ce que la tête penchée, nous y verrions ces photos ? Non.
Deuxième texte :
La réalité.
Celui qui oserait dire ne pas savoir ce que c’est serait pris pour un fou.
La réalité, c’est ce qui coordonne les êtres, leur permet de s’entendre, de se comprendre.
La réalité, c’est ce que chacun perçoit et que tout le monde voit.
Dire que l’on voit la même chose c’est s’accorder sur le fait que nous partageons bien le même monde, la même réalité.
_ « Tu as vu ce que j’ai vu !
_ Oui, je l’ai vu.
_ Tu m’aurais dis le contraire je me serais fait du souci pour toi ! »
Ces deux êtres se comprennent, ils voient la même chose, ils vivent dans le même monde.
Tout du moins le pensent-ils.
Un même voir pour plusieurs êtres.
Si ce que nous voyons des choses du monde trouve un accord commun parmi la foule de regards qui le regarde, ce que nous en comprenons diffère souvent, parce que chacun y met un peu du sien.
Qu’est ce qui permet ce décalage dans l’interprétation de ce monde que tout le monde voit de la même façon, mais que chacun semble personnaliser ?
Photos de la série Des vessies pour des lanternes :
Cinq philosophes descendant passerelle
Famille catholique montant escalator
Tokyo tower
Création du blog à MouA
Je viens de créer ce blog, il va me servir à vous présenter mes travaux et à recevoir en retour des commentaires sur ces derniers.
Je vais essayer de publier quelque chose chaque lundi au minimum, donc inscrivez-vous à ce blog pour être tenu au courant des nouveautés.
Que le bonheur soit avec vous,
MouA
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